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CHAPITRE 4 Death of patriarchy❌ Frustration...

Dernière mise à jour : 19 févr. 2020

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PREPARE-TOI CHIEN.

COMMENCE À LIRE


Après cette intense journée d’interrogatoires, de tortures et de révélations, toutes les Maîtresses étaient rentrées chez elles se reposer et se préparer pour la soirée. Sonia Clum invitait Ella Graziella, sa fille et Malia à l’athéna, la plus luxueuse notche de la ville.


Sarah finissait de se maquiller devant son miroir quand Malia s’assit à côté d’elle.

« Tu fais encore la gueule ? ».

« Non » répondit froidement Sarah.

« Mais promets-moi de ne torturer personne ce soir, ou est-ce trop te demander ? ».

Malia qui a bien compris que la séance d’interrogatoire a profondément choqué Sarah lui répond doucement :

« Je te jure que je ne torturerai personne... à part tes jolis tétons ma chérie ».

Arrachant un sourire à Sarah elle continua : 

« Avoue que tu aimes quand je les fais gentiment souffrir ».

« Oui c’est vrai » admit Sarah en rougissant. « Maintenant finis de t’habiller, on va être en retard ».

« Ma tenue ne te plaît pas ? » ria Malia.


Elle était absolument nue et ne portait qu’une magnifique paire de cuissardes à plateformes. Sarah ne put s’empêcher de l’admirer, debout, les bras sur les hanches, les jambes un peu écartées qui laissaient entrevoir un sexe fraîchement rasé.

Malia s’assit derrière elle et commença à lui travailler les tétons avec ses longs ongles.


DÉBUT DE TON CONTRÔLE SALE CLEBARD. CARESSE-TOI GENTILLEMENT LE SEXE ET REPRENDS LA LECTURE.


Sarah commençait à gémir quand elle lui passa des menottes.

« Je crois qu’on va être en retard petite catin » lui souffla-t-elle à l’oreille.

Puis sans attendre de réponse, elle la jeta sur le lit, lui écarta fermement les cuisses et lui caressa le clitoris avec son pouce en lui introduisant deux doigts dans le vagin.


TU TE METS À GENOUX POUR LIRE LE CHAPITRE ET TU ACCÉLÈRES LA CADENCE. CRACHE SUR TA MAIN ET RECOMMENCE À T’ASTIQUER.


Elle lui mordillait les tétons sans défense.

A sa merci, Sarah tentait faiblement de résister puis se laissa aller à une jouissance rapide mais intense. Sans la détacher, Malia s’assit ensuite sur le visage de Sarah, lui forçant à lécher son sexe déjà excité par de longues caresses commencées sous la douche. En quelques minutes, Malia jouit intensément, puis elle détacha Sarah et elles finirent de se préparer.


TU RALENTIS. MAINTIENS TON SEXE EN ERECTION POUR MOI.


Elles arrivèrent à la notche en calèche tirée par leurs deux esclaves personnels. Après sept kilomètres de course à vive allure, les deux mâles étaient essoufflés et en sueur. Leurs muscles étaient saillants et la sueur les faisait briller sous la lumière de la lune. Leur petit short trempé moulait toute leur anatomie. Tandis que le portier détacha les esclaves pour les enchaîner dans un box du sous-sol, Malia attrapa le sien par la queue et lui lécha l’épaule. « Hummm » goûtant la sueur perlante, elle lui chuchota à l’oreille « tu as bien couru petite pute, je te donnerai un sucre ce soir ». Le portier était le mari de la patronne, un homme libre et non soumis ce qui était plutôt rare.


ACCÉLÈRE PENDANT 1 MINUTE.



Sarah et Malia pénétrèrent dans l’établissement de plaisir et furent accueillies en personne par Ruby blonde, une jeune femme tout juste adulte qui avait hérité de l’athena de sa mère.

Malia salua de la tête un groupe d’amazones qui festoyaient autour d’une grande table.

Parmi elles, Cassy était en train de boire du champagne sur le torse d’un superbe esclave.

Une amazone versait le liquide entre les pectoraux massifs et Cassy recueillait le breuvage avec sa bouche sous le nombril.

L’ambiance était déjà très chaude, la musique jouait fort et autour de la dizaine de tables, les maîtresses riaient, mangeaient et buvaient pendant que des esclaves se pressaient à les servir.


RALENTI PETITE MERDE. SI J’ÉTAIS EN FACE DE TOI, JE PIETINNERAIS TES BURNES ET TE CRACHERAIS DANS LA GUEULE.


Ce sont des boys, des jouets sur pattes, à l’athena. Ils étaient triés sur le volet, tous beaux, musclés et bien pourvus.

D’ailleurs le slip en cuir qui leur servait d’uniforme ne cachait pas grand chose.


Ruby blonde amena Sarah et Malia à une table sur une estrade où les attendaient la chancelière et Ella Graziella.

Ces dernières buvaient un très vieux bourbon en s’amusant comme des folles à recouvrir un esclave de cire. A chaque verre fini, l’esclave recevait une dose brûlante de cire, étant donné la quantité de cire qui couvrait le corp attaché au sol, elles jouaient ainsi depuis un bon moment.

Les deux jeunes femmes s’assirent avec leurs aînées et Ruby claqua des mains pour mettre en mouvement les boys chargés de les servir.

« Assieds-toi avec nous » dit la chancelière à Ruby.


Celle-ci prit place et déclara à voix basse aux maîtresses qui se penchèrent vers elle : « Je viens d’acquérir un nouveau boy, c’est une merveille ! ».

Les questions fusent autour de la table et Ruby tente d’y répondre en vrac. « Ma mère l’a acheté il y a deux ans au marché, cette coquine l’a gardé pour elle toute seule et elle s’est lassée, du coup depuis quinze jours il fait la chienne pour moi et il me ramène grave des clientes ».

« A ce point ? » s’exclame la chancelière.

« Oui, c’est un apollon monté comme un poney, et en plus il a été super bien éduqué ».


TIRE SUR TES TÉTONS, FAIS-TOI DU MAL ET ACCÉLÈRE. PRENDS TA QUEUE ET BANDE POUR MOI. SOIS OBÉISSANT ET NE JOUIS PAS AVANT LA FIN DE MON HISTOIRE.


« Fais-le venir » demande Ella Graziella.

« Boy 18, aux pieds ! ».

Un silence s’installe dans la notche, nombreuses sont les maîtresses venues pour la nouvelle attraction. Le portier amène alors un esclave sur l’estrade et l’agenouille à côté de Ruby. Puis il va s’assoir dans un coin à une petite table où il rejoint deux autres hommes libres comme lui. L’un est grisonnant, assez bel homme pour qui aime les vieux, se dit Sarah. L’autre par contre doit avoir vingt cinq ans, il porte une barbe de trois jours fendue d’une belle cicatrice sous l’œil droit. Ses yeux d’un bleu profond brillent à la lumière des chandelles, il est mate de peau et ses longs cheveux noirs lui tombent sur les épaules. Son torse est large et il dépasse d’une tête ses deux compagnons. Perdue dans ses pensées, Sarah est ramenée à la réalité par un coup de coude de Malia. « Sarah ! » lui dit-elle. « Le spectacle est ici ! ».



Le boy est grand et mince mais musclé, son visage est celui d’un ange. Rasé de près, ses lèvres gourmandes laissent entrevoir des dents blanches comme la craie.

« Je dois retourner à mes occupations, je vous le laisse, c’est mon cadeau pour votre soirée ».

Les maîtresses la remercient et reprennent leur discussion.

Ella Graziella appelle l’esclave à ses pieds.

« Eh bien, qu’as-tu d’exceptionnel à part cette jolie frimousse ? » demande-t-elle.

« Je ne sais pas » répond-il timidement.


« Une queue de cheval » rie Cassy du fond de la salle, passablement éméchée.

Malia se lève alors en faisant tomber sa chaise.

« Ça suffit » crie-t-elle, imposant le silence à toute l’assistance.

« Une queue de cheval, et ce chien est encore en slip ? ».

Elle interroge la foule :

« Vous trouvez ça normal ? ».

« NON » répond la foule de maîtresses enivrées et excitées.

Ella Graziella et Sonia clum se regardent en souriant, partageant sans doute l’idée que la relève est assurée.


ACCÉLÈRE, IMAGINE-TOI À GENOUX DEVANT TOUTES SES FEMMES, FIOTTE.


« A poil le chien, à poil le chien ».

Le public euphorique répète en cœur les injonctions de Malia. Sonia Clum se lève et redresse le boy sur ses jambes puis elle prend un couteau sur la table et coupe le slip en cuir libérant un sexe au repos mais très long. Sonia crache alors dans sa paume et commence à astiquer le membre qui se dresse très rapidement, une lente exclamation monte de la salle qui exulte quand l’érection arrive à son zénith et que Sonia gifle le membre avant de retourner s’assoir. « Fais donc le tour de la salle pour que nos amies te voient de près » lui ordonne Ella Graziella.

Le boy s’exécute passant de table en table. Certaines maîtresses font des selfies à côté du membre, d’autres le comparent à leur avant bras ou à leur matraque, ou d’autres s’amusent à voir combien il faut de mains pour le cacher en entier. Son tour fini, le boy retourne s’agenouiller sur l’estrade.


Sarah avait tout manqué du spectacle, elle ne pouvait quitter des yeux l’inconnu qui la fixait aussi. Malia qui avait vu le manège lui remit un autre coup de coude.

« Désolée Malia, je réfléchissais » s’excusa Sarah.

« C’est ça prends-moi pour une conne » lui dit Malia.


RALENTIS ET RESTE EN ERECTION. IMAGINE LA SCÈNE.


Elle se lève alors et, devant toute l’assistance, déchire son chemisier qui libère ses seins lourds et elle fait tomber sa jupe. Elle est nue, son corp, bronzé et superbe, est une merveille que tout le monde admire. Elle se dirige ensuite vers la table des trois hommes libres, jetant au passage un œil à Sarah pour être sure qu’elle ne rate rien. Elle s’arrête et fait claquer son fouet sur la table : « J’ai soif » dit-elle. Le portier s’apprête à lui servir un verre quand le fouet claque à nouveau : « pas toi, lui » en montrant l’inconnu aux yeux bleus.


Alors que l’homme lui tend le verre, Malia s’approche et ouvre la bouche en grand. L’homme verre alors le verre directement dans sa bouche. Une partie du liquide coule sur ses seins et descend jusqu’au sexe. Malia passe alors une main entre ses cuisses et se lèche les doigts puis recommence et passe ses doigts sur la bouche de l’inconnu, tout en fixant Sarah dans les yeux. Celle-ci lui lance un regard noir puis feint une discussion avec sa mère. Satisfaite de son effet Malia retourne sur l’estrade et frotte son sexe humide sur la bouche du boy, puis coince le membre énorme et gonflé entre ses bottes en maintenant la tête du boy contre son sexe. Elle lui crie « Baise mes bottes sale chien ». L’esclave s’active alors et frotte son sexe entre les mollets de Malia tout en lui léchant le clitoris. Elle le redresse et le force à s’allonger sur la table renversant verres et bouteilles puis elle s’accroupit sur lui et s’empale sur son sexe. Sarah est à la fois excitée et énervée passant son regard de la scène torride au visage de l’inconnu. Elle imagine qu’il est lui aussi excité même s’il parait de marbre.


PLUS VITE LOSER T’ES UNE MERDE POUR UNE FEMME DIGNE DE CE NOM. C’EST MOI QUI DÉCIDE DE QUAND SORTIRA TON FOUTRE.


⚜️ TU PEUX MAINTENANT JOUIR PETITE MERDE 5 ... 4 ... 3... 2... 1... JOUIS POUR MOI AU SOL !!! LIBERE TON SPERME, TA JOUISSANCE EST A MOI ! REMERCIE-MOI POUR ÇA. ⚜️


Malia finit par jouir bruyamment, elle se relève debout sur la table et pose une botte sur le ventre du boy.

« Qui veut le finir » crie-t-elle à la foule hystérique des maîtresses chauffées à blanc.

« Nous » répondirent d’une voix les amazones.

D’un coup de pied, Malia fait tomber le boy de la table. Ce dernier se dirige vers la table des amazones où il disparaît sous les corps des jeunes femmes qui se jettent sur lui. Malia retourne s’assoir à côté de Sarah. Les amantes échangèrent peu de paroles et l’inconnu retourna à son travail, laissant Sarah profondément intriguée.



En fin de soirée, Malia et Sarah laissèrent Ella Graziella et Sonia Clum en plein jeux de fléchettes sur cul d’esclaves. Les deux maîtresses enivrées tiraient fort, les cris des esclaves touchés déclenchaient leurs fous rires qu’on entendait jusque dans la rue.

Les jeunes femmes rentrèrent chez elles, Sarah congédia son esclave tandis que Malia invita le sien dans la chambre. Elle le monta en amazone et le dirigea vers la descente de lit à coups de cravache.

Mais alors que Malia cherchait son harnais pour l’attacher au plafond, elle entendit son fouet claqué et son esclave crié. Stupéfaite, elle se retourna et vit Sarah nue, debout sur le lit, frappant son esclave comme un intouchable.

« Eh doucement, ça fait deux ans que je l’éduque ! ».

Laissant tomber le fouet, Sarah sauta du lit à pieds joints sur le ventre du soumis, lui arrachant un cri.

« Mais qu’est ce qu’il t’arrive ma chérie ? ».

« Je ne sais pas » lui repond Sarah. « Je me sens en pleine forme, j’ai très envie de jouer ».

« Ok alors attends cinq minutes, je nous fais livrer un chien adéquat, hors de question que tu massacres le mien ».

Malia appelle alors le commissariat et demande à ce qu’on lui amène un intouchable, lavé, rapidement.

Puis soignant un peu son esclave, elle dit à Sarah « Sérieux le jour où tu te décides à dominer faut que ce soit sur mon esclave, tu ne pouvais pas massacrer le tiens ? ».


Quelques minutes plus tard, une patrouille dépose un intouchable devant leur immeuble.

Sarah descend le chercher et lui fait monter les escaliers à quatre pattes à grands coups de pieds dans les couilles.

Alors que Malia paresseusement installée sur le lit caresse les cheveux de son esclave et qu’il lui masse les pieds, Sarah entre comme une furie en frappant l’intouchable. Elle l’enchaîne sur un chevalet et le sodomise violemment, enchaînant gifles, insultes et crachats. Elle a l’impression d’être une autre ou d’être elle-même pour la première fois.

Sa rencontre avec l’inconnu avait exacerbée ses sens.

Essoufflée, elle prend une pause avant de commencer à torturer l’intouchable avec un taser. Quand il perd connaissance, elle va rejoindre Malia sur le lit et s’endort rapidement.

Celle-ci demande à son esclave de redescendre l’intouchable sur le trottoir et de la rejoindre dans la salle des esclaves au sous-sol.


La salle des esclaves commune à tous les immeubles permettait aux maîtresses d’y enchaîner leurs esclaves sales, punis ou simplement indésirables dans leurs appartements.

Malia aimait venir s’offrir à son chien devant tous les autres enchainés et pour la plupart en cage de chasteté.

Elle l’attendait nue contre le mur, son manteau à ses pieds dans la paille.

Elle ne portait que ses bottes et ses bijoux. Son esclave connaissait le manège, il traversa la salle, se posta devant elle et sans préambule lui attrapa les cuisses et la déposa sur son membre.

Agrippant deux chaînes qui pendaient du plafond, Malia s’abandonna à l’étreinte.

Puissamment et longuement, son esclave la pénétra. Les regards des autres esclaves posés sur elle l’excitaient.

Quand elle eut joui, son esclave demanda l’autorisation de jouir aussi, qui fut accordée comme à chaque fois.

Ultime plaisir, Malia ouvrit son sexe au dessus de la bouche d’un chien qui avait assisté à la scène, il recueillit toute la semence en bouche sans broncher et la remercia même, de peur d’être puni.


A son retour dans la chambre, Malia découvra que Sarah avait disparue, et décida de la chercher. Elle envoya des messages aux amazones et Cassy lui répondit rapidement que Sarah était à la notche avec un dénommé Eyden.



Malia entra dans la notche et demanda où se trouvait Sarah. On lui indiqua une suite à l’étage.

Elle monta et s’arrêta devant la porte.

Elle entendit à ce moment là Sarah et Eyden s’ébattre passionnément...

Elle ouvra silencieusement la porte et pénètra dans la suite, uniquement éclairée à la bougie.

Les vêtements des deux amants jonchaient le sol. Malia restant caché, ne se rendait pas compte si c’était la réalité ou simplement un mirage...

Elle ressentait de la jalousie et la colère montait en elle à l’intérieur de son corps juqu’à serrer sa poitrine...

Elle ne pu s’empêcher de regarder et y découvra une Sarah passionnée.

Une fois les gémissements de plus en plus intenses, Malia, jalouse et en rage, décida de redescendre et de l’attendre au niveau du bar.

Elle la verra au moment où elle descendra...


Dans la chambre, Sarah mordait l’oreiller, avec son superbe cul cambré, pendant qu’Eyden la prenait puissamment de toute la longueur de son sexe avec de longs va-et-vient. Ils eurent en même temps un orgasme terrible.

Sarah, à la fois comblée et surprise de la scène qu’elle venait de vivre, paniqua et se rendit compte que tout le monde devait la chercher.

Elle récupéra ses vêtements éparpillés sur le sol, ’osant regarder Eyden.

Celui-ci, quant à lui, ne pouvait s’empêcher de la regarder, mais ne sachant comment l’aborder, garda le silence.

« Je suis désolée, je dois partir » dit Sarah en quittant rapidement la pièce.


Malia en était à son deuxième verre quand elle aperçu Sarah.

« Je t’ai cherché ma coquine où étais-tu passé ? ».

Malia faisait preuve d’un sang-froid à toute épreuve du haut de ses 18 ans.

Elle avait connu beaucoup d’épreuves lui permettant de rester stoïque et de ne dégager en aucune façon sa jalousie ni ses émotions.

« J’avais besoin d’être un peu seule » dit Sarah.

« Bien et si on rentrait à la maison ? J’ai envie de prendre soin de toi... ».

« Je te suis » dit Sarah.

« Une minute, je crois que j’ai oublié mon portable. Attends-moi dehors. Appelle un Boy, j’arrive tout de suite » dit Sarah timidement.

Était-ce une pure coïncidence d’avoir oublié son téléphone ? Ou l’avait-elle inconsciemment laissé dans la chambre ?

Elle remonta les escaliers et entendit son amant parler au téléphone.


« Oui ne vous inquiétez pas, je crois que j’ai tout ce qu’il nous faut Monsieur.

En effet, j’ai aperçu votre ex femme, elle est à la fête... Oui j’ai aussi rencontré votre fille... » rajouta-t-il d’une voix plus basse.

« Je serai de retour sur l’île demain à la première heure Monsieur ».

Eyden se tenait courbé, abattu, une main sur son front. Sarah avait observé toute la scène...

« J’ai... j’ai oublié mon téléphone... » dit Sarah d’un air sombre.

Il se retourna et comprit à ce moment-là que Sarah l’avait pris en flagrant délit... Elle savait ...

Une larme coulant sur sa joue et ne sachant que faire, Sarah gifla Eyden.

« Comment as-tu pu ? » dit Sarah.

« Jamais je n’aurais cru ressentir ça, il faut que tu comprennes, je n’ai pas le choix... Je dois partir Sarah. Je... je... ».

Ils entendirent un bruit derrière la porte.

Malia se tenait présente un fouet à la main, avec dans l’autre son téléphone.

Elle avait suivi Sarah.


Il n’était plus qu’une question de minutes avant que toute la ville soit en alerte.


« Ne le laisse pas s’enfuir Sarah ! » hurla Malia.

C’était déjà trop tard... Eyden était parti...


à suivre ...


BBY & HB💎


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